La mécanique est tout sauf une voie de garage. Ce serait même plutôt une voie d’avenir. Et pas uniquement dans les fab lab. Industrie, robotique et même aérospatial… la mécanique est partout. Alors venez jouer des mécaniques Rennes 1, une filière qui recrute à tour de bras.
Pourquoi étudier la mécanique à Rennes 1 ?
Mais parce que c’est sans doute une des disciplines scientifiques les plus passionnante à étudier à l’université ! Vous en connaissez beaucoup vous des cursus d’enseignement supérieur où on apprend à bricoler des bateaux télécommandés, à construire des lanceurs de nano satellites, à imaginer des leviers pour la harpe d’Alan Stivell et où on fabrique des aéroglisseurs pour participer à l’émission On n’est pas que des Cobayes sur France 5. Un conseil néanmoins : ne tardez pas à vous lancer. Les candidats à l’admission en première année sont de plus en plus nombreux. La formation a, en outre, de multiples intérêts : une partie des intervenants sont issus du monde professionnel, la plupart est rompus à l’exercice didactique et le marché recrute. Le fonctionnement en petite promo permet, par ailleurs, un suivi-ultra personnalisé.
Chiffres à retenir
Quelles sont les spécialités de Rennes 1 ?
L’enseignement à Rennes 1 a pour particularité d’être résolument tournée vers l’applicatif et le monde professionnel. Et c’est encore plus vrai dans le domaine de la mécanique. Dans les faits, les étudiant·e·s de Rennes 1 sont donc fortement encouragés à mettre "les mains dans le moteur" et à faire par eux-même. Quitte à se tromper ! Puis à recommencer… C’est encore de cette façon qu’on apprend le mieux. Tout au long de leurs différents projets, ils seront accompagnés par des professeur·e·s expérimenté·e·s et challengés par les autres étudiant·e·s. L’accompagnement et l’émulation sont en effet des rouages très importants de l’enseignement dans le domaine de la mécanique. Surtout, ils permettront à terme aux étudiant·e·s de se confronter aux standards de qualité et à l’exigence du monde professionnel. Rennes 1 a par ailleurs de solides attaches avec des entreprises comme Sanden ou Dassault Systemes. Elle vient ainsi d’être labélisée « academy » pour la qualité de sa formation aux outils de cartographie et d’urbanisme 3D.
Les clés de la réussite
De petites promotions, un fonctionnement en mode projet, un accompagnement de tous les instants et l’accès à de matériaux de qualité et un parc machine performant… En clair, tous les moyens sont mis à la disposition des étudiant·e·s décidé·e·s à s’investir et à percer dans ces métiers. Mieux, un fablab, leur est également accessible pour concevoir et développer leurs projets personnels. De là à dire que ces derniers bénéficient d’un cadre et des conditions de travail exceptionnels propices à la poursuite de leurs études… Les faits ont cela de fascinants qu’ils sont toujours plus probants que les affirmations péremptoires et définitives. En l’état, le fait est que rares sont les étudiant·e·s à quitter dès la 1ère année le campus scientifique et technologique de Beaulieu. Pour autant, leur réussite ne dépend que de leur investissement et de leurs efforts. Car c’est "dans l’effort que l’on trouve la satisfaction et non dans la réussite" (Gandhi).
Une discipline ouverte sur le monde
Avec le temps, Rennes 1 a noué de solides attaches avec des partenaires industriels au niveau local comme international. Une stratégie payante qui bénéficie en premier lieu à ses étudiants de 3e année de licence à la recherche d’un stage en laboratoire ou en entreprise, en France comme à l’étranger. Les étudiant·e·s sont également encouragé·e·s à effectuer une année d’études à l’étranger notamment dans le cadre du dispositif Césure. Par la suite, ils peuvent s’ils le souhaitent, poursuivre leurs études dans le cadre des masters internationaux à l’image du master in Materials Science labellisé «Erasmus Mundus ». Trois autres sont délocalisés et profitent aux étudiants étrangers d’Amérique Latine (Pérou, Chili), de Marrakech et d'Hanoï. Enfin, après leurs études de master, les étudiants qui se destinent aux métiers de la recherche et de l’innovation pourront intégrer l’école doctorale 3M (Matière, Molécules et Matériaux). Là encore, de la définition du sujet de thèse à sa réalisation, les liens avec le monde extérieur sont constants.
Au-delà des cours
Les initiatives sont multiples. Concentrons-nous deux minutes sur le projet de lanceur Perseus. L’idée est simple, mais pleine de promesses. Il s’agit de mettre le pied à l’étrier des jeunes de l’enseignement supérieur en leur faisant toucher du doigt et découvrir le fabuleux univers de l’aérospatial. Comment ? Rien de moins qu’en conceptualisant et en bricolant un lanceur de nano satellites. Soit une véritable mise sur orbite pour tous les passionnés qui croyaient ces métiers inaccessibles. Parmi les autres projets : la conception de systèmes innovants pour les sports de glisse, la fabrication de systèmes innovants tels que le Sauvepile (3e au concours Lépine en 2012) ou l’Eokit, un système intelligent et écologique pour recharger ses appareils numériques en situation de mobilité.